Vivre un deuil avec Palo Alto

C’est à travers l’histoire de mes patients qui m’ont fait le privilège de me raconter leurs expériences, leurs émotions vécues lors de décès annoncés ou soudains, leurs souvenirs des défunts si importants à se remémorer, que j’avais envie d’écrire ces quelques lignes. Mais c’est également ma propre expérience qui a motivé la rédaction de cet article. Il y a quelques mois, j’ai appris que l’une des personnes les plus importantes de ma vie allait nous quitter, mon papa dont j’ai toujours été très proche, et bien qu’une partie de moi n’y croyait pas, son décès a bien eu lieu à la fin du mois d’août…

Quand on est psychologue, quelle que soit l’approche qu’on choisit, on se forme à accompagner nos patients pour les aider à traverser les moments difficiles de leur vie, apaiser leurs souffrances et trouver des solutions pour continuer à avancer. Quand cela nous touche personnellement, on se rend compte à quel point ce que l’on leur demande de faire peut être parfois difficile, mais aussi, et surtout, comment cela peut aider à traverser ces obstacles qui nous paraissent insurmontables…Formée à l’approche systémique selon l’école de Palo Alto[1], je me suis efforcée de mettre en pratique les outils que je propose à mes patients lors des thérapies, histoire de ne pas être « le cordonnier mal chaussé ». Bien que le chemin n’est pas facile et qu’il reste semé de marées hautes et de marées basses, j’avais envie de partager comment cette approche peut permettre de traverser le « tsunami » que provoque la perte annoncée ou soudaine d’un être cher.

Pour que les difficultés ne se transforment pas en problème…

Avec l’approche de Palo Alto, une distinction est faite entre une difficulté et un problème. La vie est semée d’obstacles, d’événements difficiles. Un problème est une difficulté qui persiste malgré les efforts mis en place pour la résoudre ou à cause de ces derniers. Lorsque je me suis formée à cette approche, l’exemple donné, et qui m’a permis de mieux comprendre cette distinction, était celui du deuil. La mort d’un être aimé est pour moi l’un des pires événements que l’on puisse vivre. La traversée de cette période est dure, elle peut faire remonter des émotions parfois enfouies au plus profond de nous, que nous n’avons pas envie de voir surgir. Cependant, au sens « palo altien » du terme, un deuil est une difficulté à traverser. Elle devient un problème si nous refusons de la traverser ou luttons contre notre tristesse. Un problème est une impasse dans laquelle nous nous mettons lorsque nous ne parvenons pas, pour les meilleures raisons du monde, à surmonter un obstacle que la vie met sur notre chemin.

Dans la culture populaire, on entend encore beaucoup parler des étapes à traverser pour « faire son deuil » en référence aux travaux de Kubler-Ross parus les années 60[2]. On dit souvent qu’il faut passer par chaque étape de manière linéaire, c’est-à-dire dans l’ordre, pour enfin arriver à cette fameuse « acceptation ». Dans son livre « Vivre le deuil au jour le jour », le Dr Fauré nous indique que l’expression « faire » son deuil n’a absolument aucun sens. En effet, on ne « fait » jamais son deuil, dans le sens où celui-ci serait un jour terminé. Non, on reste à tout jamais transformé par la perte et elle continue à nous « malaxer » pendant des années, parfois même pendant toute notre vie, même si celle-ci redevient heureuse. Il rappelle très justement qu’il n’y a pas de deuil type, de bonne ou mauvais façon de faire, il n’y a que ce qu’une personne vit, pas après pas, après la mort d’un être aimé, et ceci est unique et au-delà de toute comparaison avec un modèle déjà existant. Il est donc très important de ne pas porter un jugement sur la façon dont une personne se comporte quand elle vit un deuil. Elle est et reste la seule et unique échelle de référence[3].

Ceci est également le cas lors d’événement dits « traumatiques », comme par exemple lors de la mort soudaine d’un enfant, d’un parent ou d’un proche. Nardone, Cagnoni et Milanese[4] nous indiquent que l’on ne peut pas décider si une expérience est traumatique ou non sans tenir compte de la perception de l’individu sur ce qui le fait souffrir. La douleur laisse toujours une marque. Dans le meilleur scénario, on conserve son souvenir, la conscience d’être ce que nous sommes grâce à ce vécu. Dans le pire des scénarii, cela nous blesse de manière indélébile, provocant en nous des réactions qui pourraient être dysfonctionnelles.

…Se préparer au pire…

Quand on apprend qu’un être cher va mourir, ceci peut être comparé à une tempête qui approche, un bouleversement émotionnel mêlant de la peur, de la tristesse, de la colère. Dans mon cas personnel, ne sachant pas exactement quand cet événement allait avoir lieu, j’ai pu observer comme il était assez naturel, une fois le choc passé, de mettre ceci de côté en se disant « on verra quand cela arrivera » ou « ça va aller », on se rassure et on essaie de profiter de chaque moment qu’il reste. On met ses émotions de côté, également par peur de devoir traverser tout cela à double: une première fois dans l’attente que cela arrive et une deuxième fois lors du décès.  J’ai eu la chance de pouvoir profiter des derniers moments en voyant mon papa régulièrement avant son décès. Mais si je parvenais à profiter de ces instants précieux, en partant de chez lui, je ressentais cette tempête bouillonner en moi, qui s’accentuait à chaque visite en voyant sa santé décliner.

Mettre nos émotions de côté est tout à fait logique. En effet, la tristesse, la peur et la colère ne sont pas des plus agréables à ressentir. Bien que cela fonctionne dans un premier temps, si on ne prend pas le temps de les écouter, le risque est que ces émotions nous envahissent à n’importe quel moment. C’est en fait comme une bûche que l’on mettrait sur un feu pour l’éteindre mais qui flambe de plus belle après. On met plein de choses en œuvre pour ne pas penser au pire: on peut aller se balader, se changer les idées, penser à des choses agréables. Parfois, la douleur est tellement dure que l’on utilise même des médicaments, de l’alcool ou d’autres substances pour l’étouffer quand elle est présente ou pour éviter de la sentir avant qu’elle n’apparaisse.

Avec Palo Alto, tous ces moyens, tout à fait logiques, relevant du bon sens, sont appelés des tentatives de solutions. Et ce sont justement ces moyens, « cette bûche », qui maintiennent ou même aggravent le problème. Notre travail de thérapeute sera de repérer toutes ces solutions infructueuses pour ensuite proposer à nos patients de faire exactement l’inverse de ce qu’ils ont fait. On leur proposera ensuite une tâche adaptée à chaque situation[5]. Si on reprend les exemples donnés avant, le fait de ne pas vouloir penser au pire, se changer les idées, se rassurer en se disant que cela va aller, prendre des médicaments, etc. sont tous là pour nous empêcher de ressentir ces émotions « douloureuses ». Il s’agira donc de voir comment faire l’inverse pour, au contraire, les accueillir. Dans le cas d’une maladie, d’un deuil annoncé, plutôt que de ne pas y penser, on va prendre le temps de s’imaginer le pire, de dérouler le scénario, comment cela va se passer si la personne souffre, si on est absent lors du départ, comment va se dérouler l’enterrement, etc. Vous imaginez bien que cet exercice est très difficile et que notre cerveau aura plutôt tendance à chasser ce genre de pensées.

Dans mon cas, j’ai utilisé cet « outil » à chaque fois que mon papa voulait me voir pour me parler. Mon premier réflexe était de me dire, « on verra bien, peut-être que c’est finalement des bonnes nouvelles, la maladie a peut-être disparu comme par magie, etc ». Mais j’avais aussi envie de réussir à ne pas être submergée par la tristesse ou la peur afin de pouvoir être le plus présente possible lors de ces échanges. J’ai donc imaginé les pires scénarii: qu’il allait mourir demain, qu’il pensait mettre fin à ses jours, etc. Si cet exercice est très éprouvant, il permet d’appréhender la situation d’une manière un peu plus sereine. C’est un peu comme si on était face à une forêt sombre et touffue et que l’on se frayait un premier chemin en écartant les branches et les épines qui nous écorchent la peau. Lorsque l’on doit y retourner, la forêt est toujours sombre et pas très accueillante, mais le chemin est déjà tracé et donc plus facile à emprunter. Avec une personne qui vient consulter pour des angoisses ou des peurs très présentes, on va tout d’abord l’accompagner pour faire ce premier chemin ensemble afin qu’elle soit capable de le faire ensuite seule. En fonction de la nature et de l’intensité de la problématique, on va même lui prescrire de le faire quotidiennement, voire plusieurs fois par jour. Paradoxalement, c’est en l’affrontant et en laissant une place à cette peur que cette dernière diminue et n’a plus besoin de surgir à tout moment.  

Quand je discutais de ce départ annoncé, de nombreuses personnes m’ont fait part de la chance que j’avais de pouvoir préparer ce moment, de pouvoir exprimer tout ce que j’avais à lui dire. Aujourd’hui, avec un peu de recul, je me rends compte de cette chance, d’avoir pu lui partager mes dernières pensées, d’avoir pu préparer l’enterrement comme lui le voulait, d’avoir pu réfléchir à comment j’allais lui dire au-revoir. Effectivement, cette opportunité n’est de loin pas toujours possible en fonction de l’état de la personne malade ou lors d’une mort subite.

Cependant, sur le moment, je n’arrivais pas à entendre que cette situation était une chance. J’avais envie d’hurler quand quelqu’un me disait: « c’est une chance, un cadeau de pouvoir vivre ces derniers moments avec lui ». Moi qui ne croyais déjà pas que mon père était « mortel », qui me suis retrouvée comme une petite fille qui n’était pas prête à affronter le monde sans lui, il n’était pas possible pour moi d’apprécier cette « chance ». C’est tout à fait logique de le faire et c’est avec toutes les meilleures intentions du monde que l’on veut nous faire voir le positif dans une situation tragique, nous faire voir le verre à « moitié plein » comme on dit. Mais quand on vit une grande tristesse, mêlée de peur et de colère contre le monde, contre la médecine ou même encore contre la personne qui va nous abandonner, entendre que l’on devrait être « content » de cette situation est difficilement supportable. C’est comme si on nous disait qu’on ne devrait pas ressentir tout ça, que nos émotions n’étaient pas les « bonnes ».  Le risque est d’accentuer la tendance à les mettre de côté, ne pas les exprimer et qu’elles « explosent » à un moment donné. Ces émotions sont tellement fortes qu’elles empêchent de voir ce « verre à moitié plein ». Ce n’est qu’après leur avoir fait une place, les avoir accueillies que j’ai pu entendre ces mots et sentir toute la bienveillance de la part des personnes qui les disaient.   

…Accueillir les émotions…

Dans ce « bouillonnement intérieur », cette tempête émotionnelle que peut provoquer la perte ou l’idée de la perte d’un être aimé, il n’est pas évident de trouver comment on peut accueillir ses propres émotions. On a beau savoir qu’on a le droit d’être triste ou en colère face à ce genre d’événement, qu’il importe d’exprimer ce que l’on ressent, on ne sait pas forcément comment s’y prendre.

Il s’agira de pouvoir donner rendez-vous à sa colère, à sa tristesse ou à sa peur. Pour ma part, le débordement arrivait à chaque fois que je me trouvais seule. Même si j’ai pu continuer à plus ou moins fonctionner dans mon quotidien, c’était comme si j’étais noyée dans un bain de tristesse qui n’en finissait pas de se remplir. Après un moment, je sentais que je reprenais mon souffle et que je pouvais sortir la tête de l’eau, mais je me suis vite rendu compte qu’il était important de laisser l’eau s’écouler, avant tout pour pouvoir être présente pour mes enfants qui étaient également très touchés par la perte imminente de leur grand-papa dont ils étaient très proches. J’avais envie de pouvoir partager ces émotions avec eux, pleurer avec eux, en parler, mais sans me sentir submergée.

Laisser une place à ces émotions n’est pas chose facile et l’on a tendance à continuer à ne pas vouloir y penser, à trouver plein de moyens pour se changer les idées. On se passerait bien de ce rendez-vous qui n’a rien de très galant. Mais si on imagine que cette émotion est une personne et qu’à chaque fois qu’elle vient frapper à notre porte, on la lui referme au nez, cette personne va revenir, frappera plus fort ou même finira par défoncer la porte. Lui donner rendez-vous, c’est comme si on lui mettait un mot qui dirait: « je ne suis pas disponible pour l’instant, mais tu peux revenir à telle heure et je serai là pour toi ». A l’heure fixée, on lui ouvre la porte et même si c’est quelqu’un que l’on n’apprécie pas, c’est nous qui l’aurons invité et nous aurons choisi de prendre le temps de l’écouter plutôt que de lui fermer la porte au nez.

Concrètement, on se fixera un moment dans la journée où on laisse venir l’émotion, où on va même aller la chercher. Concernant la colère, on peut écrire une lettre qu’on n’enverra pas, bien entendu, dans laquelle on déverse toutes les pires choses qui nous viennent en tête sans retenue, sans se préoccuper de la forme. De la même façon, pour la douleur, on lui donnera rendez-vous pour l’écouter, nous allons la laisser nous traverser, le temps du rendez-vous, pour peu à peu, jour après jour, la sentir moins forte et finalement pouvoir la dépasser.

Souvent, quand on prend un moment pour faire du sport, se défouler, on le fait pour « se vider la tête ». Si cela nous fait du bien et que c’est dans notre habitude, il ne s’agit pas d’arrêter de le faire, mais d’être conscient que, dans ces moments-là, on le fait pour s’empêcher d’y penser et donc que cela reste une tentative de solution qui ne fera que mettre un couvercle sur les émotions.

Lors d’un deuil, quand la personne n’est plus là, il s’agira également de faire une place à la tristesse que cela provoque, par exemple quand on pense à la personne, ou qu’on évoque des souvenirs partagés.

…La galerie des souvenirs…

Dans la même idée de donner rendez-vous à l’émotion, on peut utiliser la galerie des souvenirs qui nous aidera à inviter la tristesse. C’est-à-dire qu’au moment prévu, on va s’imaginer être comme dans une galerie d’art dans laquelle les tableaux sont les photos ou les vidéos des souvenirs avec l’être cher. On passe devant chaque image, on prend le temps de la regarder, de se remémorer les bons moments partagés. Si les larmes s’invitent, on les laisse couler, on peut mettre une musique qui nous évoque la personne disparue, utiliser des photos, des objets que l’on a d’elle. Dans un premier temps, cette « visite » accueillera la tristesse et puis après elle peut aussi servir à passer un moment privilégié avec cette personne si importante pour nous. En l’ayant fait plusieurs fois, je me suis rendu compte qu’au début, les émotions nous submergent et que cela s’atténue à force de le faire. Pour moi, c’était toujours les mêmes souvenirs qui revenaient. Puis, au fil des « visites », j’ai pu me remémorer d’autres moments plus lointains ou qui s’étaient faits plus discrets dans ma mémoire.

L’une de mes jeunes patientes qui a vécu plusieurs deuils et à qui j’avais donné l’exercice à faire chez elle, est revenue lors de la séance suivante avec un petit album photo dans lequel figuraient les personnes disparues. Elle était heureuse de pouvoir me le montrer et elle m’a dit que cet exercice lui avait fait comprendre que ce processus se passait en deux phases: tout d’abord il y avait la tristesse, le chagrin de penser à ces moments, aux souvenirs et puis après, en se remémorant ces instants partagés, on était reconnaissant de la chance qu’on avait eu de pouvoir passer du temps avec ces personnes, de pouvoir garder en mémoire tous les bons moments et tout ce que cela nous avait apporté.

…Une image pour conclure.

Si vous vous brûlez un jour en cuisinant avec de l’huile chaude par exemple, deux possibilités s’offrent à vous:

  • Soit vous décidez d’étouffer la douleur: vous prenez des antalgiques et vous enveloppez votre main dans un pansement, jusqu’à ce que ça passe en vous disant qu’avec le temps, les choses vont s’arranger d’elle mêmes. Les impératifs de la vie font que vous ne voulez pas vous laisser paralyser par cet incident. Vous prenez donc la décision de ne pas vous occuper de cette blessure et de laisser faire.

Mais même si vous ne la prenez pas en compte la blessure est néanmoins réelle. Un processus de cicatrisation va se mettre en route que vous le souhaitiez ou non. Votre main va commencer certes à se réparer, mais dans quelles conditions? Les tentatives de solutions mises en œuvre pour ne pas penser à la douleur, aux émotions ressenties risquent de ressurgir ou d’impacter votre vie de façon négative.

  • Soit face à cette brûlure, vous décidez d’accompagner activement ce processus de cicatrisation. Vous vous donnez les moyens de soigner votre main du mieux possible. Vous consultez un médecin, faites un programme de soin, etc. jour après jour, et pendant plusieurs semaines pour favoriser le processus de cicatrisation. Tout ceci fait très mal, n’est pas agréable, mais vous acceptez cette douleur car vous êtes convaincu que ce « mal » est nécessaire pour véritablement prendre soin de cette main brûlée. La cicatrisation se fera en bonnes conditions. Plus tard, votre main pourra de nouveau être fonctionnelle. Elle portera toujours les marques de la blessure, mais ses conséquences à long terme seront beaucoup moins grave que si vous l’aviez négligée.

Face à une perte, vous pouvez donc soit vous dire qu’avec le temps tout rentrera dans l’ordre, tenter de ne pas y penser, etc. soit vous décidez de faire activement face à ce que vous vivez. Cela ne va pas atténuer la douleur, car celle-ci est malheureusement inévitable, mais vous choisissez d’en faire quelque chose et de ne pas vivre passivement les événements. C’est que ce qu’on peut appeler le « travail de deuil ».

Le Dr Fauré[6] nous rappelle qu’il y aura toujours en chacun quelque chose qui restera blessé à tout jamais. Comme après une blessure physique, une cicatrice restera toujours plus ou moins sensible, plus ou moins invalidante. Comme une vieille blessure peut faire mal en certaines circonstances, la cicatrice du deuil restera douloureuse par-delà les années. Mais avec le processus de deuil, elle deviendra petit à petit plus tolérable, moins violente.

                                                                                                           Nathalie Roth Cabral López


[1] Pour en savoir plus sur l’école de Palo Alto: https://centre-sesames.ch/consultations/

[2] Les 5 étapes du deuil ont été développées en 1969 par la psychiatre américano-suisse Elizabeth Kübler-Ross dans son livre intitulé « On Death and Dying ».

[3] « Vivre le deuil au jour le jour », Dr Christophe Fauré, éd. Albin Michel, 1994, revue et corrigée en 2018.

[4] « La mente ferita. Attraversare il dolore per superarlo. » G. Nardone, F. Cagnoni et R. Milanese, 2021, éd. Ponte alle grazie. Traduction personnelle.

[5] Pour aller plus loin dans la description de l’Ecole de Alto, lire les ouvrages de P. Watzlawick ou plus récemment ceux d’Emmanuelle Piquet.

[6] « Vivre le deuil au jour le jour », Dr Christophe Fauré, éd. Albin Michel, 1994, revue et corrigée en 2018.